Tout au long de mes nuits, t’habites mes rêves,
Ta mélodie m’envahit le corps sans trêve,
J’ hume en mes mains de ta chair le doux parfum,
Titillant mes papilles, qui ont de toi, faim,
Sous mes baisers ta peau ondule de désir,
Mes doigts joueurs, exhument de toi de longs soupirs,
Ma langue recherche le chaud de tes lèvres,
Tu allumes en moi cet élan de fièvre,
Caressant l’aréole de tes seins hautains,
Puis déambulant sur le chemin de tes reins,
Je viens m’immiscer dans ton désir humide,
Pénètre ta grotte aux parois sapides,
Pour t’entendre gémir d’envie de jouissances,
Et libérer ton nectar en abondance.
Ta mélodie m’envahit le corps sans trêve,
J’ hume en mes mains de ta chair le doux parfum,
Titillant mes papilles, qui ont de toi, faim,
Sous mes baisers ta peau ondule de désir,
Mes doigts joueurs, exhument de toi de longs soupirs,
Ma langue recherche le chaud de tes lèvres,
Tu allumes en moi cet élan de fièvre,
Caressant l’aréole de tes seins hautains,
Puis déambulant sur le chemin de tes reins,
Je viens m’immiscer dans ton désir humide,
Pénètre ta grotte aux parois sapides,
Pour t’entendre gémir d’envie de jouissances,
Et libérer ton nectar en abondance.