Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Ma vie a changé

#1
La misère de l'hiver l'indélicatesse du temps
Dépourvu de bonne manière incongrus moments
Bousculement ordinaire infirme illusion
Que je ne puis faire ou défaire entend tu mon hurlement
Un matin ou la douleur s'est bien lassée de ton corps
Tu manquais pas de courage tu savais bien faire corps
Ton rire savait toujours prendre le dessus
Résonnait toujours a mes oreilles quant t'avait mal ou dans tes insomnies
Des nuits longues de bonnes heures a papoter
Des nuits longues de bonheurs avec tes amies
La douleur a bien pris possession de toi
Déterminée et forte tu lui précéder toujours le pas
Pour la faire taire et déguiser ta voix
Tu l'étouffais comme tu savait le faire
Sans que personne ne s'en aperçoit
J'ai lavé ton corps j'ai reconnu tes blessures
L'histoire de ton corps racontait ton martyre
Le sourire toujours au lèvres tu quittes l'impure
Ce chemin qui est la mort , et cette vie qui nous leurre
Ce salut ce sommeil et la vie qui demeure
Rien a changer pour elle la vie continue
Sans toi ma chérie ma vie a changer
 

Sarita A

Maître Poète
#2
oui, c'est beau, de belles images émouvantes et terribles, un bel hommage,
je me permets d'ajouter à la beauté...

La misère de l'hiver l'indélicatesse du temps
Dépourvues de bonne manière incongrus moments
Bousculement ordinaire infirme illusion
Que je ne puis faire ou défaire entends-tu mon hurlement
Un matin où la douleur s'est bien lassée de ton corps
Tu manquais pas de courage tu savais bien faire corps
Ton rire savait toujours prendre le dessus
Résonnait toujours à mes oreilles quand t'avais mal ou dans tes insomnies
Des nuits longues de bonnes heures à papoter
Des nuits longues de bonheurs avec tes amies
La douleur a bien pris possession de toi
Déterminée et forte tu lui précédais toujours le pas
Pour la faire taire et déguiser ta voix
Tu l'étouffais comme tu savais le faire
Sans que personne ne s'en aperçoive
J'ai lavé ton corps j'ai reconnu tes blessures
L'histoire de ton corps racontait ton martyre
Le sourire toujours aux lèvres tu quittes l'impure
Ce chemin qui est la mort, et cette vie qui nous leurre
Ce salut ce sommeil et la vie qui demeure
Rien a changé pour elle la vie continue
Sans toi ma chérie ma vie a changé
 

Polymnie2

Maître Poète
#4
Un poème qui interpelle le partage
surtout au présent qui s'en mêle
pour ne pas faire bon ménage
aggrave la situation peut stable!

L'éloignement est difficile à supporter!
Espérant qu'un écho vienne à toi!

Merci Petiteloulou, amicalement, Poly